jeudi, mars 23

La musique arabo-andalousse

Je suis allé au concert d'Akim El Sikameya, à Tata Theater, à mercredi. Quel concert! Voici mes sentiments...

mardi, mars 21

Être où paraître?

Peut-on connaître la personalité de quelqu'un d'après sa profession?

Quand je rencontre une nouvelle personne, il s'ensuit qu'elle va me demander, ce que je fais dans ma vie. Et ça me pose toujours un problème.

Pourquoi? Est-ce que je suis en chomage? Ai-je peur de dire "Rien"? Où bien j'ai peut-être une profession honteux? Il n'y en a aucune.

Le dilemme, c'est choisir un des plusieurs trucs que je fais simultanément, et dire, voilà mon carrière! Je me caractérise, avant tout, par des aptitudes plastiques. Tout au long de ma progression professionelle, je n'ai jamais suivi la foule.

Au début, après mon BE (diplôme d'ingénieur en Inde), j'étais un ingénieur logiciel pendant 2 ans, dans une société americaine à Bombay. À certain moment j'étais un projeteur dans un projet d'hôpital en train de construction. Or, maintenant je m'occupe mon entreprise familiale. C'est mon moyen de subsistence. Mais je suis, en même temps, un écrivain (un blogeur, de toute manière!) Je m'y intéresse. J'apprends des langues. C'est mon passion. Je vais commencer mes études de gestion bientôt. C'est mon plan à long terme. Et finalement, je suis un des bénévoles dans une organisation - la fontaine de mes sentiments significatifs et du bien-être. Alors, comment devrais-je savoir ma réponse convenable? Mon originalité réside précisément dans le fait de n'être ni l'un ni l'autre, mes les cinq à la fois. Par la suite, jusq'ici, je choisissais la solution de facilité - ce que je pensais que la personne voulait entendre.

Je m'attends le jour où touts les aspects de mon travail peuvent se converger. Enfin, je respirai plus facilement si cette question déconcertante se posera encore!

vendredi, mars 3

L'arrivant de Beijing

Ce matin, j’ai rencontré à CCD de Carter Road, Yu Lin: un ami de mèl qui est venu de Beijing. Même si on se retrouvait pour la première fois, on s'entendrait tout de suite. Ce qui m’intéresse, ce sont les sujets sur lesquels la conversation avait pivotée, et les questions qu’on se posaient, pour mieux se connaître. À savoir:

01) Des films chinois que j’ai vu aux festivals de film à Bombay, et des films Bollywood qu’il a vu avec son mec indien-singaporien à Yangon. Le film “Memoirs of a Geisha”, realisé par un americain, interprêté par chinoises Zhang Zhiyi et Gong Li au rôles principales, et se déroulé au Japon.

02) Je lui ai demandé s’il connait, par hasard, un ami qui habitent Shanghai. Ça n’a pas eu d’importance qu’il y a plus qu’un milliard de citoyens de la Chine.

03) J’était assez curieux de la vie à Beijing. Comment ils se déplacent, ici et là, en vélo . Il se demendait pourquoi les gens au gym ici marchent sur le tapis roulant, et ne courent pas.

(04) En commun, on a chacun une grand-mère vivante. La mienne a 84 ans, la sienne 87.
(05) On a parlé de notre frères et sœurs, des taux de croissances éléves de l’Inde et la Chine (la nôtre 7, la leur 10), et si on divulge habituellement des details de la vie personelle à la famille (moi ‘oui’, lui ‘non’), et donc en tout les deux cas-là, comment ça marche.

C’est génial, combien de chose on pouvait s’identifier avec. Des liens communs asiatiques, ils existent, quoi, même dans un monde macdonaldisé. Où bien c'est grâce à cela?