mardi, février 28

Le film "Pride & Prejudice"

On l'a vu à Gem cinéma à Bandra, Shalaka et moi. Le film est tout-à-fait extraordinaire grâce aux dialogues plein d'esprit et drôles. C'est une adaptation (en 2005) au grand écran du livre de même nom d'écrivain célèbre anglais, Jane Austen. L'histoire se déroule dans l'époque Géorgien, à l'Angleterre. Le livre s'est complet en 1812, mais les situations sembles totalement contemporaines. Visuellement pas trop de gloire. Mais c'est bien compensé par une histoire charmante, en montrant des failles typiquement humaines.

Personellement, P&P est quelque chose de spécial. Je connais cette histoire depuis mon enfance. Ma sœur a reçu ce livre, en étant la vedette à jour de remise des prix scolaires dans son école. Dès qu'elle a cérémonieusement overt l'emballage-cadeau, nous l'avons tant aimé pendant bientôt vingt ans. Dans chaque vacances scolaires, on le partagait pour 3 heures alternativement, et il y'avait tas de petits arguments -"c'est à moi le tour à lire!" "Pas plus!".

En fait c'est le seul livre qu'elle sincèrement aime. À la différence de moi, elle n'a pas eu, jusqu'ici, le goût de la lecture - le seul exception, c'était Pride and Prejudice. Elle l'as lu plus qu'une bonne cinquante de fois. Parfois je pense qu'elle essaie involontairement de se modèler après la personnalité de la sœur aînée dans l'histoire, qui s'appelle Jane Bennett. Elle voudrait un monde où tout est focalisé sur ce qu'elle a déjà accompli - comme suit, une vie heureuse domestique.

Mais parlons d'autre chose. De toute façon, Keira Knightley faire la loi dans le rôle principal d'Élisabeth. Qu'est-ce qu'elle étincelle! Elle n'avait pas seulement un style et une forme bien développé, mais elle pouvait également se prévaloir parmi des acteurs chevronnés comme Dame Judi Dench et Donald Sutherland. Mathew Macfayden, a apporté une véritable vulnérabilité à la personnage de Mr. Darcy, qui voudrait vraiment s'exprimer son amour à Élisabeth, mais n'y réussit pas. Ses yeux verts sont abondés des sentiments forts qu'il pouvait pas formuler. Mais le plus aimable, c'est Simon Woods, qui joue le rôle de Mr. Bingley. Un ésprit ouvert et gentil, un sourire radieux, l'apparance fraîche et désarmant tellement illumine l'écran.

Si je serais le directeur du casting, je choisirai des acteurs de Bollywood, aux rôles principaux, dans cette ordre:

* M. Darcy et Élisabeth: John Abraham, Sushmita Sen
* M. Bingley et Jane: Dino Morea , Soha Ali Khan
* M. et Madame Bennet: Amitabh Bachchan , Manorama!
* M. Wickham et Lydia: : Karan Hukku , Aishwarya Rai
* M. Collins et Charlotte: Uday Chopra , Rani Mukherji
* Mary: Nandita Das, Kitty: Mandira Bedi, Caroline Bingley: Kareena
* Lady Catherine de Bourg: Qui d'autre... Rekha!

jeudi, février 16

En esclaffant à Zenzi

Rien n’était plus propice, en apparence, pour faire provision de rire, que le club Zenzi à Bandra, à la soirée dernière.

C’était le comique, par M. Vidour Kapour. S’expatrié aux États-Unis dans sa jeunesse, il a quand même retenu un lien très forte avec sa vie en Inde. Ses blagues viennent de 3 choses: D’être indien, emigre et pédé - 3 facteurs qui pèse sur sa vie.

Ils étaient une centaine, pour la plupart non-initiée, à remplir des chaises de la salle de la performance à Zenzi. Quand Vidour a commencé, à vrai dire, je n’étais pas vraiment impressioné. Mes amis m’ont dit qu’il est vraiment dashing et tout cela. Mais à ce moment, j’ai vu un homme chauve, up peu bedonnant, avec un visage ni beau ni désagréable. Mais après le début, le metamorphose était immediat. Ses expressions, la cadence de sa voix et les gaudrioles à propos de la famille indienne, ont réussit à chauffer des spectateurs, qui étaient pour la plupart, des gays et lesbiennes autrement éclatés dans la ville.

Mais au bout du compte, ce que nous touchait, c’était son insistence de la recherche de lui-même, en créeant une vie voulu. Le paradis qu’il toujours voulait par émigrer, n’arrivera jamais, peut-être . Mais au moins, pas à pas, il y essai d'acceder. Et nous faire rire, en chemin. Comme ça, il ne peut pas se tromper - c'est sûr!

mercredi, février 15

Expérimenta 2006

Aujourd'hui, je suis aller au festival du film à Bombay: 'Expérimenta 2006'. C'est un festival qui célébre le style individu des artistes radicaux du film et video. 2006, c'est sa 4ième année.

D'abord la directrice du festival, Shai Heredia, a nous adressée, en donnant des éléments de base à propos d'Expérimenta.

Puis, un monsieur, barbu et bedonnant, a parlé, à voix monotone, du paquet des film qu'il allait présenter. Ce sont 5 films de Dadasaheb Phalke, apellé parfois comme 'le père du cinéma indien'. Malgré le style d'informateur, c'était fascinant, et çela a donné une belle introduction au réalisateur des films que nous étions en train de voir.

Il y avait "Raja Harishchandra", le première film dans l'histoire du cinéma indien. Crée en 1913, noir et blanc, c'est le cinéma muet, que j'ai voulu voir depuis longtemps. On en a vu aussi ces 4 autres films, "Lanka Dahan", "Sri Krishna Janam", "Kaliya Mardan", et "Setu Bandhan".

Après chaque film, le bon monsieur a pris le microphone et clarifié le contexte des sequences.

Bref, une soirée sympa.