vendredi, septembre 15

Libre Comme L'Oiseau

Un oiseau qui chante
n'ose pas chanter
s'il ne sait pas pleurer

Un ciel vide
n'ose pas pleurer
s'il ne connait pas le soleil

Le soleil brille
dans le ciel bleu
et un oiseau blanc qui vole

Libre, tous
la vie, les pousse
la vie, c'est leur école.

dimanche, juin 11

À Dahigav



Le 11 juin, 2006. Voyage en voiture avec ma grand-mère Ratanbai, mes cousins maternelles Sudeep, Sunay, Darshan, Piyush et Pranjal, le frère de ma mère Udank et sa femme Pratima, et la sœur de ma mère Udita. Nous sômmes allés à Dahigav, la petite ville du temple de ma famille maternelle. Ça fait un trajet de deux heures, de Pune. C'est une structure ancienne, fait de la pierre et du bois. Mais la couche de peinture est trop épaisse - les parois sont bleu, vert, jaune, et rouge! Le plancher échiquier et marbrier me semble exceptionellement frais. Les murs sont couvert par des murales de la mythologie du Jainisme. Un complexe sous-terrain des temples s'utilisait pour cacher des idoles des Tirthankars s'il y avait un envahissement.

Mais aujourd'hui c'est du calme. Les cousins - on a tous porté les soutanes du temple, et tiré de l'eau du puits, quand on a finalement cessé à ricaner. Puis, une cérémonie religeuse, d'abhisheka (de baigner l'idole avec du lait, de safran, etc. Et le grand Shanti Vidhanne, afin d'avoir la tranquilité d'esprit.

C'est merveilleux, de finalement venir ici. Cet lieu saint est au cœur de la spiritualité de ma mère. Elle y est venue souvent dans son enfance et sa jeunesse.

samedi, juin 10

Le temple de Dahigav


Shanti Vidhan
Le Puits

jeudi, avril 20

À quelle âge est-on adulte?

Dans mon quartier à Bandra, habitent des jeunes qui sont en 'Tenth Standard' - ayant 15 ans. Ils aiment la vie. Tellement. Ils sont courtois, font bien leurs études et respectent l'environnement. Ils fument, font l'amour avec leurs copains et copines, conduisent, vont aux clubs souvent et depensent pas mal aux grands magasins. Parmi ceux-ci, le plus populaire est un type qui mène tout le monde au nouveau resto chaque semaine pour déguster un genre de la cuisine mondiale. Bref, des adolescents consommateurs sont partout, et le même ratio est appliqué aux autres quartiers.

L'inde s'est développée ces 60 dernières anées jusqu'à incorporer une économie diversifiée et urbaine. C'est un pays reconnue par le monde dans le secteur de l'éducation superieure. Mais aujourd'hui, est-ce que les jeunes cools ont l'idée de l'abnégation fait par leurs ainés? Le parcours d'obstacles, qu'ils ont suivi pour y parvenir? Puis, les ados se penchent sur le quotidien miteux de leurs parents. Ils savent pas le monde du travail et sa précarité, les crises qui interrogent la société adultes.

Être adulte, ça veut dire avoir les résponsabilités et les devoirs. Un adulte est tiraillé entre lien familial et exigences professionelles. Si nous avons toutes les privilèges à l'age de 15 ans, pourquoi attendre l'age de majorité pour prendre les responsabilités qui vont avec? Les parents n'en donnent pas aux ados, et les traitent comme enfants, bien que les qualités adultes n'en soient plus à démontrer. Après être passé par l'école et lycée, sont-ils bien prêts de s'occuper d'eux-mêmes?

Mettez en contraste avec la situation à l'afrique subsaharien - espérance de vie a déjà baissé à 37 ans dans quelques régions. Si ils ne recevront pas leurs droits à l'âge de 15 ans, comment voulez-vous qu'ils prennent les choses en main?

En tournant vers crime juvénile: Je dirai que par rapport le crime, une persone qui n'a pas attendue l'age de majorité, va etre traitée avec plus de lénience qu'un adulte . Avant de partir l'enfance, outre son insécurité, l'ado doit penser à son l'avenir. Des coups de poings de la vie ont assomé plusieurs. Alors, le pardon est au fond de réinsertion sociale. L'issue a déjà déclenché une polémique dans beaucoup de pays.

Donc on est adulte à l'âge qu'on peut être adulte - tout simplement! Mais les critères pour le décider? Ils changent, enfin, de temps en temps, de culture à culture.

samedi, avril 15

L'enfant unique


Un enfant unique, est-il forcément gâté?

Fils d’une famille aisée, un ami de mon enfance (appelons lui ‘Samir’) passait sa jeunesse dans un appartement à Worli, à Bombay.. Son père est médecin et sa mère, enseignante. Il est un enfant unique – ni soeur, ni frère. Leurs appartement est grand, et y-a-t-il beaucoup de domestiques – une ayah Sitabai, un cuisinièr Ramji, et un mec Gopal qui fait des táches menagère.

Même si'ils l'accompagnent à la maison, Samir n’a jamais appris partager. Partage de ses jeux, l'amour parental, ou une chambre, mais pas seulement. Lorsqu’il a dû s’orienter dans ses études, il voulait le discuter avec une fratrie ainée. Mais dans les moments comme ceux-ci, il toujours se trouve ainsi confronté seulement à son propre personnage, sans possibilité de diriger son regard vers un frangin. Tout seul, pour lui le conseille de ses parents ne pese pas lourd, comparé à cela des camarades.

Avoir un bhaïya ou une didi (le vouvoiment en Hindi pour le frère ou la soeur ainé respectivement), aurait pu un excellent moyen de savoir la signification du respect, et puis de se plonger dans la vie quotidienne des équipiers. En sachant leurs comportement, ça donnera un serieux coup de pouce à ses études. Se concurrer, c’est s’améliorer. Parce que l’enfant unique toujours attire la reconaissance, bien que son travail soit médiocre. Son arme? Un regard aigu et perspicace de la honte de ses parents, qui regrettent toujours de ne pas lui fournir un compagne pour jouer avec.

Alors, il oscille entre rêves et calcule. Il trompe son ennui en devenant parfois un tyrant. Quand il rencontre un autre enfant plutôt bien élevé qui est apprecié par ses parents, Samir devient tellement jalous: cela va lui gácher sa vie! Pourquoi se met-il à suivre des règles de la vie familiale, s’il connaît bien que personne ne va pas lui reprocher?

dimanche, avril 9

Belle - Jolie = Beau

La beauté, est-elle aussi importante pour un homme que pour une femme?
De nos jours, en Inde, existe-t-il un crème de beauté appelé Fair & Handsome. Ce produit s'adresse a l'homme qui veut blondir sa peau. C'était introduit dans le marché indien par Emami, une société indienne qui a déjà eu beaucoup de succès avec sa marque phare, ~Fair & Lovely~, visée aux femmes. Selon moi, le plus ironique, ce sont des publicités de Fair & Handsome, qui jouent sur le sens de l'insécurité des hommes, en utilisant des produits cosmétiques, par rapport leurs masculinité.

Dans la pub à la télé, un mec monte, de la fenêtre, la chambre d'une fille. Il vole son tube de Fair and Lovely, et s'échappe au couloir. Un ami, lui rencontre par hasard, et en trouvant le tube dans sa main, lui conseille: "Qu'est-ce que tu fais! T'es un homme et tu t'appliques une produit de beauté des femmes?! Quel dommage! Tiens. C'est ~Fair and Handsome~. Et maintenant tu vas revenir au dur, le vrai homme! Avec ça, tu ne peux pas te tromper. Ça me faisait rire. Ça n'a pas eu d'importance, que l'envie d'être blanche, c'est un comportement traditionellement attribué à la femme. Le createur de la pub a manipulé le client indien, en suscitant le reste de sa mentalité coloniale. Le mec est amené à croire que seulement si le fichet dit "Handsome", son fécondateur sera garder intact. Sinon, pour une chose pareil, il sera castré, le pauvre!

jeudi, mars 23

La musique arabo-andalousse

Je suis allé au concert d'Akim El Sikameya, à Tata Theater, à mercredi. Quel concert! Voici mes sentiments...

mardi, mars 21

Être où paraître?

Peut-on connaître la personalité de quelqu'un d'après sa profession?

Quand je rencontre une nouvelle personne, il s'ensuit qu'elle va me demander, ce que je fais dans ma vie. Et ça me pose toujours un problème.

Pourquoi? Est-ce que je suis en chomage? Ai-je peur de dire "Rien"? Où bien j'ai peut-être une profession honteux? Il n'y en a aucune.

Le dilemme, c'est choisir un des plusieurs trucs que je fais simultanément, et dire, voilà mon carrière! Je me caractérise, avant tout, par des aptitudes plastiques. Tout au long de ma progression professionelle, je n'ai jamais suivi la foule.

Au début, après mon BE (diplôme d'ingénieur en Inde), j'étais un ingénieur logiciel pendant 2 ans, dans une société americaine à Bombay. À certain moment j'étais un projeteur dans un projet d'hôpital en train de construction. Or, maintenant je m'occupe mon entreprise familiale. C'est mon moyen de subsistence. Mais je suis, en même temps, un écrivain (un blogeur, de toute manière!) Je m'y intéresse. J'apprends des langues. C'est mon passion. Je vais commencer mes études de gestion bientôt. C'est mon plan à long terme. Et finalement, je suis un des bénévoles dans une organisation - la fontaine de mes sentiments significatifs et du bien-être. Alors, comment devrais-je savoir ma réponse convenable? Mon originalité réside précisément dans le fait de n'être ni l'un ni l'autre, mes les cinq à la fois. Par la suite, jusq'ici, je choisissais la solution de facilité - ce que je pensais que la personne voulait entendre.

Je m'attends le jour où touts les aspects de mon travail peuvent se converger. Enfin, je respirai plus facilement si cette question déconcertante se posera encore!

vendredi, mars 3

L'arrivant de Beijing

Ce matin, j’ai rencontré à CCD de Carter Road, Yu Lin: un ami de mèl qui est venu de Beijing. Même si on se retrouvait pour la première fois, on s'entendrait tout de suite. Ce qui m’intéresse, ce sont les sujets sur lesquels la conversation avait pivotée, et les questions qu’on se posaient, pour mieux se connaître. À savoir:

01) Des films chinois que j’ai vu aux festivals de film à Bombay, et des films Bollywood qu’il a vu avec son mec indien-singaporien à Yangon. Le film “Memoirs of a Geisha”, realisé par un americain, interprêté par chinoises Zhang Zhiyi et Gong Li au rôles principales, et se déroulé au Japon.

02) Je lui ai demandé s’il connait, par hasard, un ami qui habitent Shanghai. Ça n’a pas eu d’importance qu’il y a plus qu’un milliard de citoyens de la Chine.

03) J’était assez curieux de la vie à Beijing. Comment ils se déplacent, ici et là, en vélo . Il se demendait pourquoi les gens au gym ici marchent sur le tapis roulant, et ne courent pas.

(04) En commun, on a chacun une grand-mère vivante. La mienne a 84 ans, la sienne 87.
(05) On a parlé de notre frères et sœurs, des taux de croissances éléves de l’Inde et la Chine (la nôtre 7, la leur 10), et si on divulge habituellement des details de la vie personelle à la famille (moi ‘oui’, lui ‘non’), et donc en tout les deux cas-là, comment ça marche.

C’est génial, combien de chose on pouvait s’identifier avec. Des liens communs asiatiques, ils existent, quoi, même dans un monde macdonaldisé. Où bien c'est grâce à cela?

mardi, février 28

Le film "Pride & Prejudice"

On l'a vu à Gem cinéma à Bandra, Shalaka et moi. Le film est tout-à-fait extraordinaire grâce aux dialogues plein d'esprit et drôles. C'est une adaptation (en 2005) au grand écran du livre de même nom d'écrivain célèbre anglais, Jane Austen. L'histoire se déroule dans l'époque Géorgien, à l'Angleterre. Le livre s'est complet en 1812, mais les situations sembles totalement contemporaines. Visuellement pas trop de gloire. Mais c'est bien compensé par une histoire charmante, en montrant des failles typiquement humaines.

Personellement, P&P est quelque chose de spécial. Je connais cette histoire depuis mon enfance. Ma sœur a reçu ce livre, en étant la vedette à jour de remise des prix scolaires dans son école. Dès qu'elle a cérémonieusement overt l'emballage-cadeau, nous l'avons tant aimé pendant bientôt vingt ans. Dans chaque vacances scolaires, on le partagait pour 3 heures alternativement, et il y'avait tas de petits arguments -"c'est à moi le tour à lire!" "Pas plus!".

En fait c'est le seul livre qu'elle sincèrement aime. À la différence de moi, elle n'a pas eu, jusqu'ici, le goût de la lecture - le seul exception, c'était Pride and Prejudice. Elle l'as lu plus qu'une bonne cinquante de fois. Parfois je pense qu'elle essaie involontairement de se modèler après la personnalité de la sœur aînée dans l'histoire, qui s'appelle Jane Bennett. Elle voudrait un monde où tout est focalisé sur ce qu'elle a déjà accompli - comme suit, une vie heureuse domestique.

Mais parlons d'autre chose. De toute façon, Keira Knightley faire la loi dans le rôle principal d'Élisabeth. Qu'est-ce qu'elle étincelle! Elle n'avait pas seulement un style et une forme bien développé, mais elle pouvait également se prévaloir parmi des acteurs chevronnés comme Dame Judi Dench et Donald Sutherland. Mathew Macfayden, a apporté une véritable vulnérabilité à la personnage de Mr. Darcy, qui voudrait vraiment s'exprimer son amour à Élisabeth, mais n'y réussit pas. Ses yeux verts sont abondés des sentiments forts qu'il pouvait pas formuler. Mais le plus aimable, c'est Simon Woods, qui joue le rôle de Mr. Bingley. Un ésprit ouvert et gentil, un sourire radieux, l'apparance fraîche et désarmant tellement illumine l'écran.

Si je serais le directeur du casting, je choisirai des acteurs de Bollywood, aux rôles principaux, dans cette ordre:

* M. Darcy et Élisabeth: John Abraham, Sushmita Sen
* M. Bingley et Jane: Dino Morea , Soha Ali Khan
* M. et Madame Bennet: Amitabh Bachchan , Manorama!
* M. Wickham et Lydia: : Karan Hukku , Aishwarya Rai
* M. Collins et Charlotte: Uday Chopra , Rani Mukherji
* Mary: Nandita Das, Kitty: Mandira Bedi, Caroline Bingley: Kareena
* Lady Catherine de Bourg: Qui d'autre... Rekha!

jeudi, février 16

En esclaffant à Zenzi

Rien n’était plus propice, en apparence, pour faire provision de rire, que le club Zenzi à Bandra, à la soirée dernière.

C’était le comique, par M. Vidour Kapour. S’expatrié aux États-Unis dans sa jeunesse, il a quand même retenu un lien très forte avec sa vie en Inde. Ses blagues viennent de 3 choses: D’être indien, emigre et pédé - 3 facteurs qui pèse sur sa vie.

Ils étaient une centaine, pour la plupart non-initiée, à remplir des chaises de la salle de la performance à Zenzi. Quand Vidour a commencé, à vrai dire, je n’étais pas vraiment impressioné. Mes amis m’ont dit qu’il est vraiment dashing et tout cela. Mais à ce moment, j’ai vu un homme chauve, up peu bedonnant, avec un visage ni beau ni désagréable. Mais après le début, le metamorphose était immediat. Ses expressions, la cadence de sa voix et les gaudrioles à propos de la famille indienne, ont réussit à chauffer des spectateurs, qui étaient pour la plupart, des gays et lesbiennes autrement éclatés dans la ville.

Mais au bout du compte, ce que nous touchait, c’était son insistence de la recherche de lui-même, en créeant une vie voulu. Le paradis qu’il toujours voulait par émigrer, n’arrivera jamais, peut-être . Mais au moins, pas à pas, il y essai d'acceder. Et nous faire rire, en chemin. Comme ça, il ne peut pas se tromper - c'est sûr!

mercredi, février 15

Expérimenta 2006

Aujourd'hui, je suis aller au festival du film à Bombay: 'Expérimenta 2006'. C'est un festival qui célébre le style individu des artistes radicaux du film et video. 2006, c'est sa 4ième année.

D'abord la directrice du festival, Shai Heredia, a nous adressée, en donnant des éléments de base à propos d'Expérimenta.

Puis, un monsieur, barbu et bedonnant, a parlé, à voix monotone, du paquet des film qu'il allait présenter. Ce sont 5 films de Dadasaheb Phalke, apellé parfois comme 'le père du cinéma indien'. Malgré le style d'informateur, c'était fascinant, et çela a donné une belle introduction au réalisateur des films que nous étions en train de voir.

Il y avait "Raja Harishchandra", le première film dans l'histoire du cinéma indien. Crée en 1913, noir et blanc, c'est le cinéma muet, que j'ai voulu voir depuis longtemps. On en a vu aussi ces 4 autres films, "Lanka Dahan", "Sri Krishna Janam", "Kaliya Mardan", et "Setu Bandhan".

Après chaque film, le bon monsieur a pris le microphone et clarifié le contexte des sequences.

Bref, une soirée sympa.